La Fille de Baruch a eu le prix Lion Noir le week-end dernier !
J'ai appris par la même occasion que le livre était épuisé. Ceux qui l'ont déjà : vous possédez un exemplaire de collection !
Bienvenue !
Ma vie romanesque
dimanche 19 avril 2015
mercredi 8 avril 2015
Salon du livre de Neuilly Plaisance
J'y serai !
C'est ce week-end, samedi 10H-19H et dimanche 10H-16H.
Adresse du salon : salle des fêtes, 11 avenue du maréchal Foch.
J'espère vous y rencontrer !
C'est ce week-end, samedi 10H-19H et dimanche 10H-16H.
Adresse du salon : salle des fêtes, 11 avenue du maréchal Foch.
J'espère vous y rencontrer !
samedi 21 février 2015
Citation
Voilà ce que George Orwell disait des écrivains :
"All writers are vain, selfish and lazy, and at the very bottom of their motives there lies a mystery. Writing a book is a horrible, exhausting struggle, like a long bout of some painful illness. One would never undertake such a thing if one were not driven on by some demon which one can neither resist nor understand."
Traduction approximative : Tous les écrivains sont vaniteux, égoïstes et paresseux et le plus profond de leur dessein est un mystère. Ecrire un livre est un combat horrible, épuisant, qui s'apparente à une longue période de douloureuse maladie. Personne n'embrasserait volontairement une telle chose, s'il n'y était pas conduit par une sorte de démon que l'on ne peut ni combattre ni comprendre.
Vous avez toujours envie d'écrire après ça, vous ? Moi oui. Ce doit être le démon.
"All writers are vain, selfish and lazy, and at the very bottom of their motives there lies a mystery. Writing a book is a horrible, exhausting struggle, like a long bout of some painful illness. One would never undertake such a thing if one were not driven on by some demon which one can neither resist nor understand."
Traduction approximative : Tous les écrivains sont vaniteux, égoïstes et paresseux et le plus profond de leur dessein est un mystère. Ecrire un livre est un combat horrible, épuisant, qui s'apparente à une longue période de douloureuse maladie. Personne n'embrasserait volontairement une telle chose, s'il n'y était pas conduit par une sorte de démon que l'on ne peut ni combattre ni comprendre.
Vous avez toujours envie d'écrire après ça, vous ? Moi oui. Ce doit être le démon.
mercredi 7 janvier 2015
Je suis Charlie
Tenir un crayon est parfois le métier le plus dangereux du monde.
Ces terroristes sont comme ces épouvantards du monde de J. K. Rowling : ils se nourrissent de nos peurs les plus profondes et se dissolvent dans un éclat de rire.
Ce soir, le rire a tendance à se bloquer dans ma gorge quand je pense à Charb, Cabu, Tignous, Wolinski et les autres.
Mais que les sales types ne s'imaginent pas avoir gagné : on va rire, dès qu'on le pourra. On n'aura pas peur. Et les crayons seront toujours plus forts que leurs foutus gros calibres.
Ces terroristes sont comme ces épouvantards du monde de J. K. Rowling : ils se nourrissent de nos peurs les plus profondes et se dissolvent dans un éclat de rire.
Ce soir, le rire a tendance à se bloquer dans ma gorge quand je pense à Charb, Cabu, Tignous, Wolinski et les autres.
Mais que les sales types ne s'imaginent pas avoir gagné : on va rire, dès qu'on le pourra. On n'aura pas peur. Et les crayons seront toujours plus forts que leurs foutus gros calibres.
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